L’opération Save Car-E est bel est bien lancé sur notre blog de voyage ! Nous écrivons ces quelques lignes depuis la Guyane où nous sommes arrivés après plus de 20 heures de vol. Un périple jusqu’à l’autre bout du monde avec notre petite Julia tout juste âgée d’un an. Le voyage en lui même s’est plutôt bien passé pour une première, mais nous aurons l’occasion d’en parler sur le blog plus longuement. Nous prenons 2 jours de repos chez notre amie Monique de la Coloc en couleurs puis nous entamerons notre descente au Brésil avec 2 vols internes via la compagnie Surinam Airways et TAM !
#SaveCare : étape 1 le départ vers la Guyane
Durant ce voyage nous vous proposerons des petites vidéos récapitulatives et réalisées sans prétention avec notre GoPro Hero5, on espère que ça vous plaira !
Pour suivre ce voyage n’hésitez pas à nous suivre sur notre page Facebook pour plus de photos et videos prises en live !
Non loin de Cayenne, existe une ile plutôt sympathique et peuplée de petits singes Saimiri. Cette ile se nomme : l’ilet la Mére. Pour la petite histoire l’ilet la mère est une petite ile non loin de la ville de Cayenne et qui fait partis d’un archipel de 4 iles situées au large de la commune de Remire-Montjoly.
Voir des singes Saïmiri à l’ilet la mère en Guyane
Historiquement, nous savons que cette ile fut habitée en premier par les Amérindiens. Les polissoirs, encore présents sur la plage, légitiment leurs présences, mais il est tout de même difficile de dater cette occupation.
Au 17e siècle, la France, ou plutôt les Jésuites, tente de coloniser la Guyane et s’arrête en premier lieu sur l’ilet la mère. Au 18e siècle, l’ile est occupée par les Lépreux de Cayenne.
De 1852 à 1875 c’est la période pénitentiaire de l’ile. L’ile était composée d’une quinzaine de bâtiments qui pouvaient accueillir plus de 600 bagnards. L’ile fut abandonnée presque 20 ans plus ans à cause d’une épidémie de fièvre jaune. Les ruines, encore visibles sur l’ile aujourd’hui, permettent de distinguer : l’hôpital, l’église, le clocher, le bâtiment des condamnés…
Comment expliquer la présence de singe Saimiri encore aujourd’hui ?
Les singes Saimiri ont été introduits par l’homme aux alentours de 1981 lorsque l’ile était la possession de l’Institut Pasteur. Les singes étaient utilisés à l’époque pour la recherche contre le vaccin antipaludique. Ils furent relâchés dans les forêts luxuriantes de l’ile en 2001 , date à laquelle Pasteur stoppa ses recherches.
Le site est aménagé et entretenu depuis 2005 et c’est en 2007 que le conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres décide d’ouvrir l’ile au public.
Pour vous y rendre, il vous faudra passer par un prestataire qui vous déposera en bateau sur l’ile et viendra vous chercher en fin de journée.
Bien plus qu’un objet de décoration, en Amérique du Sud le hamac est un véritable mode de vie. Que ce soit pour faire la sieste, pour dormir une nuit ou même pour bercer un enfant nous l’avons retrouvé tout au long de notre voyage.
Hamac : un véritable mode de vie en Amérique du Sud
Le hamac, idéal pour faire la sieste partout
Comment parler de l’Amérique Latine sans vous parler du hamac ? C’est un véritable art de vivre que nous avons découvert en premier lieu en Guyane. Là bas, vous ne pourrez pas le louper, il trône sur toutes les terrasses/balcons de ce Département d’outre-mer. Au Brésil, nous l’avons retrouvé à la plage, dans les restaurants, les bars, sur les terrasses, au bord de l’eau, dans les jardins et même sur les bateaux. En faite, en Amérique du Sud, le hamac est l’équivalent de notre traditionnelle chaise longue. Les petits comme les grands l’utilisent tous les jours le temps d’une sieste, mais parfois aussi pour y passer la nuit. Dans les états les plus chauds, les hamacs ont même remplacé les lits !
Synonyme de bien-être et de détente, ce n’est pas pour rien que les indigènes l’appelaient « le berceau des dieux ». D’une simplicité déconcertante à installer et peu encombrant, nous n’hésitions pas à le sortir à la moindre occasion pour faire une petite sieste dans les plus beaux endroits du Brésil (je vous laisse juger par vous même, photos à l’appui).
Qu’il soit en coton, en toile de parachute ou même en filet, pour 1 ou 2 personnes, le principe du hamac est toujours le même : un morceau de tissu que l’on peut tendre à chaque extrémité qui permet de dormir ou de se reposer. Alors quelle différence dans tous ces modèles et comment faire son choix ?
L’élément principal à prendre en compte pour choisir son hamac est à mon sens l’utilisation que l’on souhaite en faire :
bivouaquer lors de randonnée : prendre en compte son poids et son encombrement. Privilégier les versions en toile de parachute très légères et peu encombrantes.
se détendre sur sa terrasse : tout est permis dans ce cas. Vous pouvez vous faire plaisir esthétiquement avec un joli modèle en coton.
en forêt : l’important ce n’est pas le hamac, c’est la moustiquaire qui va avec dans ce cas 😉
dans l’eau : privilégier des matériaux résistants tel que les filets en nylon
Et après ? une ou deux places ? Personnellement, je trouve que les modèles 2 places offrent l’avantage d’être plus spacieux et c’est parfait si vous souhaitez vous y allonger en diagonale.
Et les accessoires ?
Pour fixer votre hamac de la corde peut suffire. Il existe également des systèmes de crochets de fixation.
Si vous comptez emmener votre hamac pour bivouaquer, n’oublier d’acheter une moustiquaire qui vous protégera de tous les insectes et vous permettra de passer une bonne nuit. Si vous êtes en zone à risque de Palu je vous conseillerai même d’imprégner votre moustiquaire d’un insecticide antimoustique.
D’origine amérindienne, le carbet est traditionnellement un abri en bois, sans mur, sous lequel vous pouvez vous abriter pour passer la nuit. Il est conçu de telle façon que vous pouvez facilement fixer votre hamac. Nous avons découvert ce mode d’hébergement en Guyane, car là bas tout le monde connait les fameux week-ends carbet. C’est un mode de couchage idéal en forêt, car il vous isole des nombreux insectes ou rampants qu’il peut y avoir au sol : fourmis, matoutous (mygales), serpents, scolopendres et j’en passe. Plutôt rassurant, non ?
On distingue deux types de carbets : les carbets traditionnels (avec le toit en bois) et ce qu’on appelle les carbets bâche où le randonneur utilise une bâche tendue au-dessus du hamac grâce à des cordes pour faire office de toit. Il permet surtout de s’abriter des fortes pluies qu’il peut y avoir en zone tropicale. Nous avons testé ce dernier lors d’un week-end randonnée en forêt Guyanaise où nous étions partis deux jours avec, dans notre sac à dos, notre paquetage pour la nuit. C’est une expérience unique que de dormir au coeur de la forêt avec tous ces bruits d’animaux qui vous entourent.
Aussi pratique que confortable, vous verrez : l’essayer c’est l’adopter. Durant mes derniers mois de grossesse, j’apprécie particulièrement ce cocon qui me permet à la fois d’être allongé et d’avoir les jambes surélevées. Généralement, sur ma terrasse, il m’accompagne désormais aussi à la plage où je trouve facilement 2 filaos pour l’accrocher. Et vous, quels sont vos meilleurs souvenirs en hamac ?
Deuxième édition de notre série de vidéo journal de bord #Vlog en direct de la Guyane. Nous avons tourné ce deuxième opus dans la ville de Saint-Laurent-du-Maroni face à la ville d’Albina au Suriname. Pour rappel, nous voulions tourner une série de vidéo qui vous raconte notre quotidien pendant notre tour de L’Amérique du Sud. Au programme de cette édition donc : le Fleuve Cayenne, le village de Cacao, le marché de Cayenne, le village de Camopi et notre rencontre avec un paresseux !
Notre journal de bord en vidéo : #Vlog n°2 en Guyane
Bloqué dans le sable au fleuve Cayenne
Revivez avec nous notre premier ensablage au bord d’un fleuve Cayenne. Rien de bien stressant (ça dépend pour qui…), un mini ensablage qui nous a permis de reviser un peu les basics et surtout savoir comment agir dans ce genre de cas.
Le village de Cacao
Le village de Cacao est un village qui est habité par la communauté Hmong depuis les années 70. Yohan a d’ailleurs eu l’occasion d’en parler pendant l’émission Allo la Planète au mois de septembre. Pour relire l’article et écouter l’intervention de Yohan, ca se passe ici.
Le marché de Cayenne
Le marché de Cayenne est un endroit incontournable de Guyane où il est possible de découvrir l’ensemble des saveurs de Guyane.
Le village de Camopi
Grâce à une super opportunité, Florence a eu la chance de visiter le village amérindien de Camopi qui est uniquement accessible par avion ou par pirogue.
Rencontre avec un paresseux
La Guyane c’est aussi ça ! Se balader en voiture dans un sentier peu fréquenté et tomber nez à nez avec un paresseux ! Une rencontre inoubliable !
Pour notre premier week-end « carbet bâche » en Guyane, nous partons avec l’ensemble de nos colocs de Cayenne, pour une courte randonnée en direction de la Savane Roche Virginie à 2h de Cayenne, qui nous permettra de voir le lever du soleil sur la canopée.
Carbet Bâche dans la savane roche Virginie en Guyane
Avant de revenir sur cette journée, voyons d’abord ensemble l’équipement indispensable que doit posséder tout bon randonneur en Guyane pour installer son propre carbet bâche.
La définition d’un carbet en Guyane et dans les pays alentours, comme les Antilles et le Suriname, est une hutte sans mur et servant d’abri. Lorsque l’on part en randonnée ici, il est très fréquent de faire son propre carbet à l’aide d’une bâche achetée pour l’occasion pour se protéger des pluies équatoriales.
Dans nos Sacs à dos, en plus de notre matériel photo habituel, nous avons donc logé :
Des hamacs et leurs moustiquaires (indispensable) de la marque Ticket to the Moon
2 bâches (pour vous protéger de la pluie) 2×3 mètres
de la corde d’un bon diamètre (pour fixer les bâches)
2 sacs à viande (même s’il fait très chaud la journée, la nuit est plutôt fraiche en foret)
de quoi prendre l’apéro (très important!)
le café du matin avec des brioches si possible
des saucisses pour le barbecue
des lingettes à usage unique pour la petite toilette (une super idée de notre coloc Monique)
Les sacs sont maintenant prêts, c’est donc parti pour 1h45 de route vers le sud de la Guyane direction la ville de Régina.
Carbet Bâche dans la savane roche Virginie en Guyane
La route pour aller de Cayenne à Régina est plutôt belle, quelques nids de poule, mais rien de bien méchant, surtout quand on voyage à l’arrière d’un mythique et confortable Land Rover. Pour aller à Régina, pensez à prendre votre carte d’identité, car il y a un barrage de La Gendarmerie qui contrôle l’identité de toutes les personnes qui emprunte cette partie de la route. Il y a 2 postes de ce type en Guyane, un à Iracoubo et l’autre près de Régina.
Nous arrivons au PK 122, aucun panneau n’indique quoi que ce soit, mais soyez attentif au PK 122 il y a un chemin de terre sur lequel vous pouvez vous garer. Ne laissez rien dans votre voiture par sécurité. En prêtant l’oeil, vous apercevrez sur la droite un chemin qui part en forêt, c’est le fameux sentier de randonnée qui permet d’accéder à l’inselberg. A priori, 1h30 à 2h de randonnée nous attendent.
(Pour info, un inselberg est un relief (colline ou un petit massif) isolé qui domine significativement une plaine ou un plateau subhorizontal.)
La forêt s’ouvre sur un discret petit sentier. Il est midi, il fait chaud, très chaud, pas vraiment la meilleure heure pour commencer ce type de randonnée… mais nous voulons arriver assez tôt en début d’après-midi pour pouvoir choisir notre emplacement de carbet tranquillement.
Au départ le sentier est assez plat donc et sans grande difficulté en saison sèche, car les cours d’eau sont presque secs. Sur la dernière partie, nous faisons néanmoins face à une énorme montée. Avec l’humidité et le poids du sac, mon rythme cardiaque augmente rapidement, j’essaye donc de faire souvent des poses pour récupérer et je fais donc ralentir le groupe ! Arrivé enfin tout en haut du monticule, on croise sur notre route des colonies de fourmis. Elles sont tellement nombreuses, qu’elles ont carrément créé à elles seules leur propre petit sentier en forêt. En suivant ces autoroutes à fourmis, on tombe sur 2 énormes fourmilières de terre rouge. Je reste comme une enfant devant ce spectacle où chaque fourmi a l’air d’avoir son rôle : certaines portent des pistils de fleur, d’autres des feuilles, ou encore des morceaux de terre. Il y a aussi ce que j’appelle les Taxis fourmis : les plus grosses fourmis portent des grosses feuilles sur laquelle sont installées plusieurs petites fourmis… étonnant !
Nous sortons de la forêt pour arriver sur une vaste étendue de roches noires. Nous y sommes, c’est le début de l’inselberg de la savane Roche Virgine. Ce rocher est au coeur de la forêt et surplombe le massif pour nous offrir une magnifique vue à 360°. Nous montons au sommet pour y installer le fameux carbet. Une fois en haut, nous avons l’agréable surprise de voir qu’une structure en bois est déjà existante. Cela nous facilitera l’installation de nos hamacs. Mais même avec ça, nous mettrons plus de 2h à installer le campement, de vrais débutants !
Il est 14h, c’est sous une chaleur de plomb que nous nous lançons dans l’opération « montage des hamacs ». Entre 2 fixations de corde, on s’hydrate… un peu trop d’ailleurs, si bien que notre maigre réserve d’eau fond comme neige au soleil. Yohan part alors avec notre ami Pascal explorer les environs afin de trouver une crique (ou cours d’eau) pour trouver de l’eau (on se croirait un peu à Koh Lanta non ?). Ils reviennent 1h après, bredouilles, la saison sèche est passée par là.
Nous finissons par avoir monté nos 7 hamacs côte à côte. Chacun monte dans son hamac en espérant que la structure en bois tienne bon… 1, 2 ,3 4 personnes… jusqu’au septième : super ça tient ! Nous sommes tous suspendus et la structure ne bronche pas. Impeccable, on peut donc passer à autre chose !
Certains préparent un feu de camp pendant que les autres jouent au Uno. On se tient néanmoins tous prêts pour voir le coucher de soleil tous ensemble. Ici en Guyane, il faut savoir que le soleil se couche entre 18h et 18h30.
Notre coloc Pascal a eu la bonne idée de préparer un punch pour l’apéro qu’il a porté dans une glacière bien fraiche tout au long de la randonnée. C’est donc autour d’un verre que toute la coloc s’émerveille de ce que la nature Guyannaise à nous offrir de plus beau : un ciel qui s’embrase d’une jolie teinte orangée.
Au loin, en étant attentif et en tendant l’oreille, on entend le cri sourd des singes hurleurs. C’est un véritable spectacle son et lumière qui se produit devant nos yeux.
Nous sommes heureux d’être là, tous ensemble, au coeur de la nature et au rythme de celle-ci. Le soleil se couche et un nouveau spectacle commence : le bal des mille et une étoiles. Comme des gamins, autour du feu de camp, on s’allonge et on observe, chacun essaye de deviner les constellations les plus connues. Il ne nous faut pas longtemps pour voir nos premières étoiles filantes, c’était vraiment une soirée parfaite
A https://www.floetyo.com/blog/voir-des-singes-saimiri-a-lilet-la-mere-en-guyane/21h30, nous sommes épuisés de cette vie d’aventurier, nous rejoignons donc tranquillement notre campement. Nos 7 hamacs bien douillets nous attendent ! Nous pénétrons à l’intérieur de nos moustiquaires pour être à l’abri des insectes environnant (et dieu seul sait s’ils sont nombreux !). Quelques minutes plus tard, un bris de craquement de bois se fait entendre. « Vous avez entendu ? Oui, c’est bizarre non ? ». Puis on entend deux grands CRAC successifs. Yo vient de descendre d’un étage ! Cela nous vaut une bonne crise de fou rire. Son hamac était apparent mal fixé, il s’est arrêté à quelques centimètres du sol.
La nuit ne me semble pas si fraiche que ça., le sac à viande emporté suffira amplement pour être à l’aise et passer une bonne nuit. Nous décidons de nous lever aux aurores pour assister au levé du jour. Il est 5h30 : debout tout le monde ! Le soleil commence déjà à esquisser les premiers rayons et la chaleur se fait déjà sentir.
Nous sommes tous face à la canopée (étage supérieur de la forêt), silencieuse (ou encore endormi), nos appareils photo à la main. Le ciel prend alors une jolie teinte rosée sur une forêt qui garde un voile de brume. Un lever du jour plutôt poétique qui nous réveille en douceur.
Il est 6h30, et si on prenait un café avant de reprendre la route ? Après avoir rangé le campement et ramassé notre poubelle, nous entamons le chemin du retour.
À 10H45 nous sommes arrivé au parking du point de départ, pour notre plus grand bonheur le Land de Jo est équipé d’une réserve d’eau, un vrai bonheur que de pouvoir jouer au t-shirt mouillé pour finir cet excellent week-end. Merci les amis de la coloc d’avoir partagé cette aventure avec nous !
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